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Skateboard

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Le skateboard

[->http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Skateboardvintage70s.JPG][->http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Horizontal_Skateboard.jpg]

 

 

 

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Le  skateboard  ou  planche à roulettes , est composée d'un plateau (planche, «  deck  », ou «  board  ») sous lequel sont fixés deux essieux (dits aussi «  trucks  ») permettant de maintenir sur chacun d'eux deux roues. Elle peut servir à se déplacer en roulant sur ses quatre roues, mais surtout à réaliser certaines figures («  tricks  »), en environnement urbain (appelé «  street  ») ou dans des parcs spécialisés, lesskateparks. Le pratiquant de ces disciplines est dénommé « skateur » (ou «  skateboarder  », du terme anglophone).

 

| Sommaire

· 1 Historique

· 2 Sport ou art

· 3 Le style « skateur »

· 4 La musique

· 5 Le skateboard et l'image

· 6 Anglicismes

· 7 Sport extrême

· [8 Aspects techniques du  skateboard ->http://fr.wikipedia.org/wiki/Skateboard#Aspects_techniques_du_skateboard]

8.1 Planche à roulettes

§ 8.1.1 La planche

§ 8.1.2 Les trucks

§ 8.1.3 Les roulements à billes

§ 8.1.4 Les roues

§ 8.1.5 La visserie

§ 8.1.6 Les pads

8.2 Tricks

8.3 Spot

8.4 La discipline dans les médias interactifs

· 9 Skateurs professionnels célèbres

· 10 Skateurs : droits et devoirs (en France)

10.1 Cas de Paris

· 11 Planches dérivées

· 12 Cinéma

· 13 Notes et références

· 14 Annexes

14.1 Articles connexes

14.2 Liens externes

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Historique

Les premiers skateboards étaient en fait des trottinettes de fortune de la fin des années 19301. Les enfants pauvres n'ayant pas les moyens de se payer une trottinette, récupéraient un vieux patin le sciait et clouait les deux morceaux ainsi faits sur un chevron. Avec un cageot et un tasseau ils faisaient le guidon. Par la suite, ils se débarrassèrent du guidon, celui ci ayant une fonction se limitant à l'appui et non à la direction comme sur les vraies trottinettes, la direction étant assuré par le système des essieux de patin1. Dans le film  Retour vers le futur  on trouve un clin d'oeil à l'histoire du skateboard lorsque le héros est pourchassé dans les années 1950, on le voit arracher le guidon d'une de ces trottinettes de fortune.

 

 

 

Le « roll-surf » apparaît à la fin des années 1950 en Californie2. Les premiers skateboards industriels sont vendus sous la marque Humco3 en 1956[réf. nécessaire]. Très vite le skateboard sera surnommé «  sidewalk surfboard  » ou « roll-surf », littéralement « planche à surfer les trottoirs », et deviendra de plus en plus populaire. Dans le film de Billy Wilder sorti en 1966 et tourné en 1965  The Fortune Cookie , une scène montre des enfants roulant sur des skateboards. En France, le magazine pour enfant  Le Journal de Tintin  tire un article sur le roll'surf en mai 1966, montrant des figures inspirées du surf, de la gymnastique et de l'athlétisme (saut en hauteur). Au Québec, toujours en 1966, Claude Jutra réalise  Rouli-roulant , un court-métrage sur la passion de jeunes montréalais pour ce sport et la loi qui en interdit la pratique dans les rues.

 

La première compétition date de 19632. À cette même date, les premiers skates font leur apparition en Europe et en France notamment, où la première compétition se tient en 19652. Arnaud de Rosnay s'illustre à l'occasion des éditions du championnat de France 1965, 1966 et 19674. Jusqu'en 1973, toutefois, le skate peine à se développer. Une innovation change la donne : les Californiens Frank Nashaworthy et Bob Bahn mettent au point la roue en uréthane ; le skate moderne est né4. Le succès est immédiat et le phénomène devient mondial dès 1974 avec la vente de plusieurs millions de planches : 15 millions de skates vendus en 1975 aux États-Unis5. Les premiers skateparks voient le jour5. tandis qu'une presse spécialisée émerge. En France, la discipline est reconnue comme sport par le Ministère en 19745. 27 skateparks sont créés en France entre 1974 et 19786.

 

La discipline s'effondre au début des années 19806. L'innovation, facteur très important, est plus que jamais à l'ordre du jour. Des stars tels que Natas Kaupas (inventeur du Wall ride) ou Mark Gonzales voient très loin : les mains courantes, les  rails , etc. Ils poussent leurs  boards  dans une nouvelle direction, plus folle. La pratique reste essentiellement urbaine, mais cette fois les skateurs utilisent au maximum la configuration de la ville. Si cette époque fait l'apanage de l'utilisation des  rails , la nouvelle génération de la fin des années 1980 montre également son niveau sur des  gaps  : des sauts d'espaces, de marches.

 

Parallèlement, la pratique sur des rampes a de plus en plus de succès, devenant très vite à la mode.

Apparaissent Mike CarrollColin McKaySalman Agah, des skateurs aujourd'hui moins médiatisés que des skateurs comme Tony HawkRodney Mullen, mais toujours en activité.

Entre 1992 et 1995, le skate met l'accent sur la technique, abandonnant quelque peu le côté esthétique. Cette époque verra l'émergence de centaines de nouveaux  tricks  : des  flips , se créent et s'améliorent, Salman Agah invente le  switch  (le fait de pratiquer avec la jambe opposée à celle d'appel, à l'envers en quelque sorte).

Rodney Mullen est principalement, avec Natas Kaupas, celui à l'origine du skate moderne et a inventé une vingtaine de figures dont le kickflip et le heelflip.

 

L'apparence du skateboard a elle aussi évolué. Celui-ci présente dorénavant des roues minuscules et des planches dites « allumettes ». D'un autre côté, peut-être dans une recherche implicite d'unité, les skateurs commencent à adopter un style propre, plus ou moins inspiré de la mode des surfeurs. Cette époque est appelée «  big pants, small wheels  » (« grands pantalons, petites roues »).

 

Après ces quelques années passées à parfaire leurs  tricks  (figures), les skateurs -- imitant des stars comme Pépé Martinez-- reviennent à leurs premières amours, s'emparant plus que jamais de la rue. Une nouvelle fois, les gros  gaps  et les handrails sont mis à l'honneur, couplés cette fois-ci à la toute nouvelle technique.

Si la rampe, très à la mode dans les années 1980, semble se marginaliser au début des années 1990, celle-ci voit finalement se dessiner un ciel radieux. C'est l'époque, de Danny Way (considéré par certains comme le « plus grand  ramprider  de l'Histoire » ou encore le « maître de la vert' »), mais aussi de Rune GlifbergBucky LasekTony HawkJohn CardielTony Trujillo.

 

L'année 1998 verra le début du festival Jamie Thomas -- du nom de son créateur, un skateur qui créa également les marques Zero Skateboards, et Fallen Shoes - toujours en vogue aujourd'hui. Il fut connu et médiatisé grâce à la vidéo  Welcome to Hell  de la marque Toy Machine.

À partir de cette époque, et aujourd'hui encore, plusieurs styles différents se sont dégagés : skateurs « techniques », « fonceurs », etc. Aujourd'hui, la question qui se pose est de savoir ce qui compte le plus dans la discipline : le style ou la performance ? Cette question est encore moins évidente qu'il n'y paraît. En effet, si certains considèrent la pratique technique comme peu esthétique, d'autres au contraire ne peuvent concevoir technique et style séparément. Heureusement, aujourd'hui, cette question est plus source de diversification que de discorde.

 

 

 

 

 

Sport ou art

 

Le skateboard est-il un sport ou un art ? La question se pose dès que l'on désire aborder le style et la philosophie de la discipline. Un sport est une discipline mettant l'accent sur la performance, tandis qu'un art vise à atteindre un idéal esthétique, par une technique, un style propre. En tant qu'art, le skateboard se rapprocherait de la danse, en ce que la recherche de beauté se fait à travers le mouvement.

[->http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Vans_classic.jpg]Les systèmes d'évaluation des skateurs lors des compétitions montrent l'ambivalence de la discipline. Ainsi, à l'issue de son  run  (passage, prestation), le skateboarder sera jugé non seulement sur la technique et la performance, mais aussi sur la créativité et le style (l'esthétisme). Limité en temps, un run peut être comparé à un programme de patinage artistique, avec toutefois des règles moins strictes et l'absence de dichotomie entre programme libre et programme imposé.

 

La plupart des adeptes de skate ne considèrent pas leur discipline comme un sport à part entière. Deux voies différentes, mais néanmoins complémentaires se dessinent donc.Le skateboard est un sport a 100% -- tous les aspects de la discipline n'étant pas quantifiable en termes de performance -- la pratique de la discipline comme objet esthétique visuel (en photographie notamment) se répand.

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Le style « skateur »

 

La récupération par les médias de l'image de la planche à roulettes et la profusion des marques de skate (Black label, Enjoi Blind,DVSWorld IndustriesElement,ChocolateéS,Lakai,Supra, etnies,carharttJartFlipGirlGlobeIndependent,MatixOsirisSpitfireVentureVinkelVolcomWESCcircleClichéEmericaBlendMatoëlBaker SkateboardAnti HeroVansBonesAltamont ApparelCarhartt,DC,BoardBreaker, DGK, popular skateshopDarkstarTrauma et tant d'autres) a également fait du « style skateur » une mode à part entière. En effet, les habitudes stylistiques des adeptes, issues des cultures populaires californiennes et urbaine américaine, se voient reproduites par une multitude de jeunes, la plupart n'étant même pas intéressés par la pratique du skate. Cette nouvelle génération est vue d'un drôle d'oeil par certains « véritables » skateurs, qui les qualifient alors de « poseurs ». Ce style s'étant développé en mode, l'attirail vestimentaire des skateurs coûte cher, ce qui mène quelquefois à des situations où seuls les « poseurs » portent réellement des habits de skate, tandis que les pratiquants n'en voient pas forcément l'intérêt. Mais il ne faut pas voir là-derrière une imitation désoeuvrée ou une reproduction ridicule. La récupération de cette mode est une façon de montrer son adhésion à une philosophie, plus encore qu'à une discipline en soi. L'esprit du skateboard a donc beaucoup inspiré la nouvelle génération, devenant un phénomène de société, et une référence parmi les jeunes.

Concrètement, et depuis l'an 2000/01, le style « skateur » est caractérisé par des vêtements amples ou des vêtements serrés. La préférence est ainsi donnée aux t-shirts longs et aux pantalons « baggy » (pantalons larges descendant sous les fesses et laissant apparaître le caleçon), style que l'on qualifiera de «  Big pants, small wheels  » (littéralement grands pantalons, et petites roues) ou aux pantalons «  slim  » avec des chaussures fines et des T-shirt serré. Les chaussures de skate, quant à elles, sont très particulières. Conçues pour tenir au mieux sur un skateboard et s'abîmer le moins possible, elles sont grosses et munies de lacets épais. Toutefois, les marques de chaussures de skate font aujourd'hui des modèles plus discrets ou plus classiques, symptomatiques de l'adoption du style « skateur » par des gens ne pratiquant pas.

L'amalgame est souvent fait et on regroupe alors tous les styles  underground  sous l'appellation « skateur ».

 

 

La musique

La culture musicale qui se trouve derrière le skateboard est le résultat d'une longue évolution, et est ainsi très diversifiée. Les styles de musique varient, vers Los Angeles on écoutera les chanteurs de rap de la côte Ouest (dit « West Coast »), alors qu'à New York on écoutera la musique de la côte Est (dit « East Coast »).

Issu du surf, discipline à la culture profondément rock 'n' roll, le skateboard s'est ensuite développé dans la rue. Il n'y a pas de généralité absolue à faire. Le hip-hop est récupéré pour son appartenance à la  street culture  américaine, tandis que le rock rappelle l'euphorie des débuts. Néanmoins il semblerait que la plupart des skaters écoutent du rock. Mais il faut également noter que certains skateurs, pouvant être qualifiés de  roots  écoutent des genres musicaux différents, tels que le reggae, le dub ou encore le ska. Une autre branche des skaters écoute du metal.Il semblerait toutefois que les deux styles de musiques les plus ecoutés par les skateurs sont : - du Rap(hip-hop,rap US,...) - ou du Rock(Rock'n'roll,Metal,Hard Rock,...)

 

Les Skateurs écoutant du rap se caractèriseraient en s'habillant avec des jeans baggie, et la plupart aimerait skater du pure street (les manuals, curbs, flips parfois très techniques...) Tandis que ceux écoutant du rock feraient plutôt du street du genre hammer (Gros gaps, handrails...)et les plus agés d'entre eux, écoutant en général du Rock'n'Roll, pratiqueraient du old school (les débuts du skate) comme du bowl (qui était autrefois des piscines californiennes) et de la rampe. Ceci étant tout de même qu'une image (les skateurs pratiquent ce qu'ils aiment, un skateur qui écoute du rap peut aimer du hammer et vice-versa). La musique (dans les vidéos) a souvent une influence sur les jeunes skaters, qui parfois découvrent et s'ouvrent vers un nouveau genre musical. La musique de chaque  part  (section de vidéo), étroitement liée à l'image du skateur et de la marque, influencent certains jeunes qui se mettent à s'habiller comme le skateur qu'ils aiment bien et à écouter le même style de musique.

Dans les vidéos on peut souvent voir que le skateur enchaîne ses tricks dans les temps. Lorsque le skateur fera un gap ou un trick au ralenti quand il replaquera, il le fera en même temps que la musique. Cela vient aussi des montages vidéo qui sont fait.

Un style de musique apparenté au punk californien, le Skatecore, a pris un nom rappelant le skate.

Lors de compétitions ou sessions, dites AM (amateur) ou Pro (professionnel), il y aura toujours la présence de musique. La musique donne un rythme aux runs des skateurs, ils s'en inspirent et font preuve d'imagination. Tout combiné, le skateur, sa planche et la musique donne un résultat qui sera noté par les jurys. C'est pourquoi la musique joue un rôle assez important pour les runs des skateurs.

 

 

Le skateboard et l'image

Les vidéos qui ont marquées, à chaque génération, l'histoire du skateboard, témoignent du lien entre skateboard et images. Même si l'innovation dans les figures et leurs enchaînements est devenue la mesure de référence d'une bonne vidéo, l'aspect esthétique de cet enchaînement, l'impression générale rendue, et le style demeurent indispensables pour que celle-ci entre dans l'histoire. Elle est, en général, associée à une bande-son qui « colle » aux séquences de chaque skateboarder.

On note la sortie du film Les Seigneurs de Dogtown, de Catherine Hardwicke, qui retrace l'évolution du skateboard à partir des années 1970 et des fondateurs d'une nouvelle discipline (le poolriding) qui va révolutionner le skateboard et le sport en général :Jay AdamsStacy Peralta (qui est d'ailleurs scénariste du film, et dont le rôle est joué par le jeune John Robinson, acteur principal de Elephant de Gus Van Sant) et Tony Alva.

Les vidéastes de skate Ty Evans et Spike Jonze, connus pour avoir réalisé la vidéo  Yeah Right , sont les premiers à avoir franchi un cap au niveau de la réalisation des vidéos de skate. Ils utilisent des techniques et effets spéciaux de cinéma, et filment maintenant avec des caméras HD.

 

 

Anglicismes

De par son origine américaine, le vocabulaire lié à la discipline est truffé de néologismes directement empruntés à l'anglais. Au niveau même de son nom, le  skateboard  revendique ses origines anglophones, étant aujourd'hui plus utilisé que l'appellation originelle et officielle : la planche à roulettes. On parle également parfois, de « rouli-roulant ».

Il en va de même pour les noms des  tricks  (figures) : du  varial flip  au  boardslide , toutes les figures sont nommées à l'anglaise. Il n'est pas rare d'entendre un  skateur  qualifier une simple rotation de 360° de  three-sixty  (litt. « Trois (cent) soixante »).

Certains éléments ont une appellation double. Ainsi, dans un  skatepark , on n'hésitera pas à parler de « rampes » (français), mais on précisera de quel type il s'agit en parlant de  half-pipe  (anglais) et de  quarter-pipe  (anglais). Dans d'autres cas, l'appellation anglaise côtoie l'appellation française sans que l'une prédomine sur l'autre forme (par exemple  fifty-fifty (50-50)  en anglais et « cinquante-cinquante (50-50) » en français).

 

 

Sport extrême

Le skateboard est généralement considéré comme un sport extrême, même s'il peut être pratiqué à des niveaux bien différents. En tant que discipline, il reste proche de ses voisins de « glisse » tels que le skate électrique ( Maverix entre autre...) BMX, le X-board, le longboard lestreetboard, le surf, le skimboard, la trottinette freestyle et ses variantes : windsurfkitesurfle wake board , ou même le snowboard.

 

 

 

 

 

 

 

Aspects techniques du  skateboard

 

Planche à roulettes

Un  skateboard  se compose de plusieurs pièces distinctes, généralement choisies séparément et ensuite assemblées.

 

La planche

Il s'agit de l'élément principal. Il en existe plusieurs formes et tailles. Elle est en bois (érable canadien le plus souvent pour les planches européennes) et composée de sept à douze couches fines ; il existe plusieurs tailles de planches. Pour les classer, on se réfère à la largeur. Celle-ci varie de 7,4 pouces (on parle alors de 7.4 tout simplement), (190 mm) -- utilisées généralement pour la discipline en  street  -- jusqu'à 9,5 pouces (pour le  bowl  en général) et le prix n'a rien à voir avec la qualité du plateau ; il faut regarder le concave (la forme du plateau), pour la « rampe ». La plupart des professionnels n'utilisent que des planches de 8 pouces au minimum.

D'autres critères que la largeur permettent de distinguer différentes planches et elles ont aussi des formes uniques (le concave). Premièrement, le motif, lié à une marque ou encore à un skateur célèbre (pro-model), mais également la longueur et la courbure. Les bords et les arêtes des planches sont arrondis, mais généralement ces dernières deviennent coupantes à force d'usure. La planche est recouverte du  grip , une feuille adhésive « antidérapante » comparable à du papier de verre, tout à fait indispensable pour le  ollie  et responsable de l'usure rapide des chaussures.

 L'avant de la planche est appelé le nose  côté le plus long du plateau (l'anglais pour nez) et l'arrière de la planche se nomme le  tail  le plus court du plateau (du mot anglais signifiant queue). Sur la plupart des planches actuelles, il n'y a pas de réelle distinction entre l'avant et l'arrière de la planche (on pourra cependant observer que le  nose  est légèrement plus long et plus courbé que le  tail  mais sur certains modèles la différence est très faible). Les mots  nose  et  tail  n'interviennent alors qu'en fonction de la position et de la direction que le skateur donne à la planche.

 

 

Les trucks

Il y en a deux par  skate . Ils sont directement vissés à la planche et servent de liaison entre la planche et les roues. Ils sont en aluminium spécial (non soudé, pour la sécurité du skater), afin d'encaisser les chocs sans peser lourd.

Il en existe également de plusieurs couleurs et allures, mais il ne diffère pas réellement de celui présent sur la photo. Certaines marques en proposent des formes les plus inattendues, comme les axes de  Blind , taillés en forme de personnage entouré de lettres formant le nom de la marque, le tout en relief.

La manière dont l'axe est serré détermine la façon de skater. Pour un maximum de stabilité il faut le serrer, il faudra alors appuyer légèrement sur le  tail  pour pouvoir tourner. Desserré, le skate tourne juste en penchant le corps. On peut obtenir le même résultat en installant des « gommes » plus ou moins dures, cependant le prix de ces « gommes », ou « doh-doh », du nom de la marque du fabriquant le plus populaire, est assez élevé.

Le terme axe ( kingpin  en anglais) fait également référence à la vis autour de laquelle toutes les parties du  truck  viennent s'assembler : l'embase, le  hanger  (partie sur laquelle le  grind  se fait) et les « gommes ». Le kingpin est la partie qui casse le plus souvent sur un truck.

 

 

Les roulements à billes

Ce sont tous des roulements à billes. Il existe plusieurs types de qualité, classés selon les normes ABEC qui vont de 1 à 9. Les ABEC1 étant des roulements bas de gamme peu performants mais solides, les ABEC3 et 5 sont les plus courants, solides et rapides tandis que les ABEC7 et 9 ont tendances à être moins solides, mais bien plus rapides. Beaucoup de marques actuelles ne tiennent plus vraiment compte de ces standards pour leurs roulements haut de gamme. Une planche nécessite huit roulements (Deux par roue). Les roulements sont le plus souvent espacés par une entretoise (sorte de petit bout de tuyaumétallique qui sert à faciliter le glissement entre l'axe et le roulement).

 

 

Les roues

En uréthane, elles ont un diamètre qui peut varier de 45 à 60 mm pour les modèles les plus courants. En général les roues de petit diamètre sont préférées par les skateurs de  street  car elles offrent plus de réactivité au skateboard en abaissant le centre de gravité de la planche qui entre donc plus rapidement en contact avec le sol lorsque le skateur fait son  trick . Les roues de grand diamètre offrent au contraire une moindre réactivité mais une plus grande stabilité ainsi qu'une vitesse de  ride  plus élevée et sont généralement utilisées par les  ramp-riders  ou les skateurs qui aiment la vitesse. La dureté des roues varie également, les roues de « filmeurs » étant généralement assez molles afin de diminuer les vibrations et le bruit lié au roulement sur le sol dans le but d'améliorer la qualité du film. Enfin, les roulements sont insérés dans la partie centrale des roues. Celle-ci se trouve parfois renforcée par un coeur en matière plastique afin d'améliorer la durée de vie des roulements.

 

 

Cette dureté est écrite avec un chiffre suivi d'un A correspondant à la dureté Shore. Il en existe plusieurs types : 92A (plus pour le  street ), 95A, 99A et même 101A pour les plus durs (utilisés surtout pour les  skateparks  ainsi que les  slides  en longskate). Certaines compagnies tel que Earthwing ont aussi créé des roues de dureté 52D pour avoir une dureté maximale.

 

La visserie

Des couples vis/boulons sont utilisées pour faire tenir le skateboard aux trucks. Les vis peuvent être de longueurs différentes, en fonction de si le skate possède des pads ou non. La taille classique de la visserie est de 1 pouce (25,4 mm).

Pour serrer les vis on utilise généralement une clé allen et une clé plate (taille 8). Les vis de couleurs différentes sont utiles afin de déterminer où se trouvent le  nose  et le  tail .

Il existe une alternative aux vis, des clous prévus à cet effet qui permettent de se passer de boulons.

 

Les pads

Petits rectangles en plastique à placer entre le truck et la planche. Ils ont la même superficie que la base du truck avec une hauteur d'environ 1 ou 2 mm. Ils permettent l'absorption des vibrations du sol et l'amortissement des chocs et le surélevement des trucks pour accueillir des roues d'un plus gros diamètre pour éviter les  wheel-bite  (quand les roues touchent la planche). Ces éléments sont optionnels.

 

 

Tricks

[->http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Skateboarder.jpg]Il existe un grand nombre de figures, ou  tricks . Le plus simple est le  ollie  (le saut) ou tout simplement le  wheeling  ou  manual  (rouler sur les deux roues arrières de la planche en restant en équilibre). Le  ollie  est le  trick  qu'un débutant doit apprendre s'il veut pouvoir évoluer. Pour passer a une autre niveau il faut réussir le  kickflip  ou le heelflip et ainsi, une multitude d'autres tricks s'offrent a vous. Avant son invention, les premiers skateurs s'élevaient dans les airs en effectuant un  boneless  ou un  no comply , consistant à élever la planche en tapant du pied sur le sol, ou avec la main pour le boneless, et qui sont aujourd'hui considérés comme des  tricks   old-school . À présent, le  ollie  permet de sauter sans avoir besoin de toucher la planche avec les mains ni de mettre le pied au sol. Liste des tricks et leurs variantes les plus connus :

 

-Ollie et autres : Ollie(classique), backside 180 ollie, frontside (FS) 180 ollie, backside (BS) 360 ollie, frontside 360 ollie, No-Comply, boneless, fastplant, wallride...

-Flip : kickflip, varial flip, hard flip, 360 flip, 360 hard flip, BS 180 flip, FS 180 flip...

heelflip, varial heel, inward heel, laser flip, 360 inward heel, BS 180 heel, FS 180 heel...

-Slide : boardslide (fs ou bs), lipslide, tailslide, noseslide, bluntslide, noseblunt, combo slide, crail slide, darkslide...

-Grind : 50-50, 5-O, nosegrind, smithgrind, feeblegrind, crookedgrind, overcrook, willys grind, over willys, hurricane...

-Grab : Nosegrab, tailgrab, indy, cannonball, melon, tweak, seatbelt, doublegrab, one foot, benihana,madonna, japan, etc... (très grand nombre)

Il en existe évidemment largement plus mais il est impossible de tous les noter et classer, étant donné que certains sont nouveaux, et d'autres inclassables, car les tricks peuvent être inventés par chaque skateur, c'est d'ailleurs comme ça qu'ils sont nés.

Les autres figures sont divisées en différentes catégories, selon certains critères.

 

 

Spot

Un  spot  (place en anglais) est un endroit fréquenté pour rider. Il peut s'agir d'un simple escalier ou d'un skatepark, l'intérêt y est de pouvoir effectuer des tricks comme glisser sur une rambarde ou emprunter une descente. Les spots de rue sont souvent utilisés à l'encontre des autorités locales pour de nombreuses raisons (dégradations, nuisances sonores, trouble de l'ordre public).
Les skateparks s'équipent de modules inspirés du mobilier urbain à provoquer. Ces différents modules se distinguent par leur forme, leur taille, leur matière, ou encore par les  tricks  qu'ils permettent d'effectuer.

 

 

 

 

 

La discipline dans les médias interactifs

Plusieurs jeux vidéo ont tenté de recréer les sentiments que l'on peut éprouver en faisant du skateboard. Parmi ces jeux, on trouve entre autres :

§  Top Skater , un jeu d'arcade de simulation créé par Sega en 1997 qui n'est pas vraiment représentatif du skateboard pratiqué par la majorité puisqu'il s'agit de descente.

§  Skate and Destroy , sorti en février 2000 édité par rock star, qui peine à reproduire les figures au niveau de l'ergonomie des boutons mais qui est amusant pour les chutes où le skater devient un pantin désarticulé.

Mais le premier jeu de skateboard à avoir eu un gros succès est la série des  Tony Hawk's Skateboarding  développée par Activision et sortie en 1999 ; les personnages ont été créés à partir de skaters pro numérisés à l'aide de capteurs, ce qui ne devait surement pas être le cas sur  Top Skater  où les skaters ont leurs planches qui restent collées aux pieds. On n'avait jamais atteint ce réalisme dans un jeu de skateboard, tout est une reproduction de l'existant, les figures de bases, les vêtements, le matériels, certains spots. Seuls les enchainements interminables de figures que les joueurs créent peuvent souffrir d'un manque de réalisme, pour le plus grand plaisir de ces derniers. Ce jeu, de par sa diffusion, a énormément contribué à vulgariser les termes techniques de skateboard et le nom des pros auprès du grand public. En septembre 2007, Electronic Arts a publié un nouveau jeu de skate qui présente un gameplay qui imite bien les mouvements qu'on peut effectuer sur une planche.

§  Skate  est un jeu vidéo de skateboard d'EA Sports sorti sur PlayStation 3 et Xbox 360 le 24 septembre 2007 aux États-Unis et le 11 octobre 2007 en France et en Europe. Une suite,  intitulée Skate 2 , est sortie en 2008 ainsi qu'un dérivé pour Nintendo DS et  Wii  appelé  Skate It . Ce jeu a apporté ce qui manquait cruellement à  Tony Hawk's Skateboarding . Alors qu'auparavant le réalisme était essentiellement « visuel »,  Skate  se rapproche d'une simulation (si on exclut le fait de jouer avec les mains !). Lorsqu'on jouait à  Tony Hawk's Skateboarding , les commandes servaient uniquement à se diriger et pour l'exécution de  tricks (figures) si on lâchait la manette, le skater continuait sa route, chaque bouton correspondait à un type de figure différent. Ici le joueur fait face à de nouvelles difficultés, chaque poussée pour avancer doit être exécutée avec la manette. Ainsi, lorsqu'on se trouve a quelques mètres d'un obstacle, on doit gérer l'élan et se préparer à exécuter la figure comme si on était dans la rue. Le joueur doit apprendre à gérer l'espace comme dans la réalité, ce qui rend ce jeu excitant.

 

Skateurs professionnels célèbres

§ Alan  Ollie  Gelfand (inventeur du  ollie )

§ [->http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Tony_Hawk_ollie.jpg]Ali Boulala

§ Andrew Reynolds (Skater Of The Year 1998, créateur de Altamont Apparel et manager du team de la marque de planches Baker skateboards)

§ Arto Saari (Skater Of The Year 2001)

§ Bam Margera

§ Bastien Salabanzi

§ Bob Burnquist (skateur de rampes géantes, Skater Of The Year 1997)

§ Bucky Lasek (inventeur du slaiyen double flip)

§ Chad Muska (également connu comme  dj )

§ Chris Cole (Skater de l'année 2005 et 2009)

§ Chris Haslam

§ Christian Hosoi (inventeur du christ air)

§ Colin McKay

§ Daewon Song (Skater Of The Year 2006)

§ Danny Way (Skater Of The Year 1991, fondateur de la marque Plan B détenteur du record du saut le plus long et le plus haut avec rampe)

§ Eric Koston (Skater Of The Year 1996)

§ Geoff Rowley (Skate Of The Year 2000)

§ Jamie Thomas (createur de Zero Skateboards, Fallen Shoes Co, Slave Skateboards, et BlackBox distributution)

§ Jason Lee (créateur de la marque Stéréo Skateboard)

§ Jay Adams (membre originel des Z-Boys)

§ Jean Postec

§ Jim Greco (créateur de Deathwish skateboards)

§ Joey Brezinsky

§ John Cardiel (Skater Of The Year 1992)

§ Kareem Campbell (createur de City skateboards)

§ Kenny Anderson

§ Lance Mountain (membre de la Bones Brigade)

§ Lucas Puig

§ Mark Appleyard (Skater Of The Year 2003)

§ Mark Gonzales

§ Natas Kaupas (inventeur du wallride, des premiers slides, du ollie au sol et du natas spin)

§ Nyjah Huston

§ Paul Rodriguez (vainqueur du Es Game of Skate 2003 et du Battle at the Berrics 3)74

 

§ Rodney Mullen (inventeur du  flip  et de beaucoup d'autres tricks, créateur de Almost Skateboards, Enjoi Skateboards et Tensor Trucks)

§ Ryan Sheckler

§ Rune Glifberg

§ Salman Agah (Skater Of The Year 1993, inventeur du switch stance)

§ Shaun White

§ Stacy Peralta (membre originel des Z-Boys, co-créateur de la marque Powell-Peralta, fondateur de la Bones Brigade)

§ Steve Caballero (membre de la Bones Brigade)

§ Tom Penny

§ Tony Alva (membre originel des Z-Boys, créateur de Alva skateboards)

§ Tony Hawk (Skater Of The Year 1990, membre de la Bones Brigade, skater le plus médiatisé, premier à réaliser un 900° en contest, fondateur de Birdhouse et actionnaire de la marque Hawk)

 

Skateurs : droits et devoirs (en France)

Le « skateur », lorsqu'il circule sur la voie publique, est un piéton au regard du code de la route. C'est en tous les cas le sens de la réponse du ministre de l'intérieur à une question écrite7 posée par la députée Marie-Jo Zimmermann : « En l'absence de réglementation spécifique, les utilisateurs d'engins à roulettes sont, lorsqu'ils circulent sur la voie publique, assimilés à des piétons ».

À ce titre, le « skateur » est soumis « aux dispositions des articles R. 412-34 à R. 412-42 du code de la route » poursuit le ministre. Il a donc l'obligation :

§ d'utiliser les trottoirs [article R412-34],

§ lorsqu'il emprunte la chaussée, de circuler près de l'un de ses bords. Hors agglomération et sauf si cela est de nature à compromettre sa sécurité ou sauf circonstances particulières, il doit se tenir près du bord gauche de la chaussée dans le sens de sa marche [article R412-36],

§ de traverser la chaussée en tenant compte de la visibilité ainsi que de la distance et de la vitesse des véhicules [article R412-37],

§ d'utiliser, lorsqu'il en existe à moins de 50 mètres, les passages prévus à son intention. Aux intersections à proximité desquelles n'existe pas de passage prévu à son intention, le skateur doit emprunter la partie de la chaussée en prolongement du trottoir [article R412-37],

§ lorsque la traversée d'une chaussée est réglée par des feux de signalisation, le skateur ne doit s'engager qu'au feu vert [article R412-38],

§ lorsque la traversée d'une chaussée est réglée par un agent chargé de la circulation, il ne doit traverser qu'à son signal [article R412-38],

§ hors des intersections, il est tenu de traverser la chaussée perpendiculairement à son axe [article R412-39],

§ il lui est interdit de circuler sur la chaussée d'une place ou d'une intersection à moins qu'il n'existe un passage prévu à son intention lui permettant la traversée directe [article R412-39],

§ il doit contourner la place ou l'intersection en traversant autant de chaussées qu'il est nécessaire [article R412-39],

§ lorsque la chaussée est divisée en plusieurs parties par un ou plusieurs refuges ou terre-pleins, le longboarder parvenu à l'un de ceux-ci ne doit s'engager sur la partie suivante de la chaussée qu'en respectant les règles prévues par les articles qui précèdent [article R412-40],

§ le fait, pour tout skateur, de contrevenir aux dispositions de la présente section est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la première classe [article R412-43]. « Le montant de l'amende forfaitaire pour les contraventions au Code de la Route de la première classe commises par les piétons était fixé à 30 F par le Code de Procédure Pénale (R. 49). L'ordonnance n° 2000-916 du 19 septembre 2000 fixant la correspondance en euros des montants exprimés en francs dans les textes législatifs prévoyait l'équivalence : 30 F ? 4,5 EUR. Toutefois l'article R-49 du Code de Procédure Pénale réactualisé prévoit bien une amende forfaitaire de 4 EUR »

 

Cas de Paris

Certaines villes ont mis en place une réglementation spécifique. Ainsi à Paris, les services de la préfecture de police estiment que la pratique de la planche à roulettes est assimilée à un jeu dangereux, au sens de l'article 113 de l'ordonnance du Préfet de Police du 25 juillet 18628 et donc, par voie de conséquence, interdite à la fois sur les trottoirs et sur la chaussée.

Il est également interdit d'utiliser sa planche à roulettes pour se déplacer. Pour la préfecture de police, « ce type d'équipement ne peut être utilisé comme un moyen de déplacement ».

La pratique du skateboard ne peut donc se faire que dans des lieux officiellement recensés par la Mairie de Paris. Les arrêtés des 3 février 1978 et 22 mars 1979 ont fixé la liste des emplacements où les utilisateurs peuvent s'adonner à cette activité.

 

 

 

Planches dérivées

Au cours des années, la configuration des éléments constitutifs de la planche à roulette a évolué et se sont créées des types de planches plus ou moins différentes du  skate classique :

§ le  Longskate   ou Longboard  : planche est plus longue pour permettre plus de vitesse

§ le  Miniboard  : planche très courte pour plus de figures

§ la  Bladeboard  : les roues sont en ligne

§ la  Waveboard  :  Essboard  ou  Caster board , seulement deux roues en ligne, planche très flexible

§ la  Freebord  : innovation marque déposée aux USA, 3 roues à l'avant, 3 roues à l'arrière

§ la  Cut board  : chaque pied a une mini-planche avec une roue

§ le  Fingerboard : planche d'une dizaine de cm. de long, elle se manie avec les doigts

§ la  mountainboard : planche avec foot straps, 4 roues avec jantes et pneus.

§ le flowboard : la planche possède deux rangées de 7 roues à l'avant et à l'arrière de la planche.

 

 

 

 

 

Cinéma

Films dans lesquels le skateboard tient une place importante ou centrale :

§ Skate Gang, film de David Winters, sorti en 1986.

§  The Skateboard Kid , film de Larry Swerdlove, sorti en 1993.

§  Rouli-roulant , film de Claude Jutra, sorti en 1966.

§  Dogtown and Z-Boys , documentaire de Stacy Peralta, sorti en 2001.

§  Les Seigneurs de Dogtown , de Catherine Hardwicke, sorti en 2005.

§  À l'ouest de Pluton , de Myriam Verreault et Henry Bernadet, sorti en 2009.

§  Wassup Rockers , de Larry Clark, sorti en 2006.

§  Paranoid Park , de Gus Van Sant, sorti en 2007.

§  Skate or Die , de Miguel Courtois, sorti en 2008.

§  Grind , de Casey La Scala, sorti en 2003

§  Kids , de Larry Clark, sorti en 1995.

 

Notes et références

1. ? a et (en)  The Origins of Skateboarding [archive] - HowStuffWorks

2. ? ab et c Sébastien Cretin,  La transmission des savoirs du skateboard à l'épreuve des nouvelles technologies de l'information et de la communication , Thèse de sociologie, Université de France-Comté, 2007, p.62 Thèse en ligne [archive] [PDF]

3. ? [ (en)  Aloha ! Vintage Skateboard Gallery [archive]

4. ? a et b Sébastien Cretin,  op. cit. , p.63 Thèse en ligne [archive] [PDF]

5. ? ab et c Sébastien Cretin,  op. cit. , p.64 Thèse en ligne [archive] [PDF]

6. ? a et b Sébastien Cretin,  op. cit. , p.65 Thèse en ligne [archive] [PDF]

7. ? no 45849 publiée au  Journal Officiel  le 10 août 2004 page 6 189

8. Avis de la commission de la sécurité des consommateurs relatif à la pratique du patin à roulettes (roller quad), du patin en ligne (roller in line) et de la planche à roulettes (skateboard) [archive] sur le site du Bulletin officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes



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